Bonjour, le forum est en construction. Vous pouvez vous inscrire mais deviendrez un beta-testeur avant son lancement officiel ; ) et vous aurez la lourde tâche de tester le jeu et de faire des rapports sur les erreurs / ennuis / autres. <br>
Vous pouvez également vous inscrire en tant que joueur et participer dans le flood en attendant que le forum soit totalement terminé.
Virtual Prisoner [RPG]
Bonjour, le forum est en construction. Vous pouvez vous inscrire mais deviendrez un beta-testeur avant son lancement officiel ; ) et vous aurez la lourde tâche de tester le jeu et de faire des rapports sur les erreurs / ennuis / autres. <br>
Vous pouvez également vous inscrire en tant que joueur et participer dans le flood en attendant que le forum soit totalement terminé.
L’adolescente aux couettes brunes rit doucement devant les questions de l’adolescente aux cheveux sombres. Celle-ci se lève, remue, parle. Et la nature autour d’elle commence à s’animer, les branches des arbres à remuer et le vent à se lever. Soufflant et parlant doucement. La petite fille se penche en avant, posant le doigt sur ses lèvres pour demander à l’autre de se taire à la fin de la série de questions.
Elle lui fait un clin d’œil amusé. Après tout, c’est souvent le cas. Souvent les gens posent des questions en arrivant ici. La surprise les prend. Elle, elle n’a pas d’avis. Elle ne se pose pas de questions. Elle a toujours été ici. Elle est née ici. Alors, si elle devait se poser des questions, ce serait d’où viennent-ils tous ses gens ? Etre curieuse de l’autre monde.
Elle l’est, car on lui a intégré la curiosité. Toutefois, elle ne l’est pas suffisamment pour voir le découvrir. Ici, c’est sa vie. C’est son espace de jeu. Elle y est dieu, éternelle, clémente et bourreau.
« Il est bien de se poser des questions. »
Sa voix s’est élevée transporter par le vent. Alors qu’elle parle, elle tourne le dos à Charmante et elle commence à avancer en direction d’un chemin, menant à la ville au loin. Elle marche lentement, petit pas par petit pas. Elle s’arrête, pour faire signe à l’autre de la suivre.
« Tu es dans le didacticiel. »
Explique-t-elle. Elle s’arrête, observant la ville au loin. Le ciel est dégagé, d’un joli bleu. Elle rit doucement. C’est ainsi, elle n’a pas d’autres noms à donner. Le didacticiel est une emprise du jeu en dehors de la MAPS, du temps, et des éléments. C’est la salle d’entraînement de Dragon Ball. C’est le lieu où tout s’arrête. Le temps seulement que ça dure. Eternellement pour elle.
Le pourquoi de l’adolescente aux cheveux noirs sonne. Pourquoi ?
La petite fille rit, encore, avant de répondre.
« Pour effectuer tes choix. »
La suite ne lui fait que lever les épaules de manières impersonnelles.
« Tu es libre de tes impressions. »
Maintenant, elle s’est arrêtée. A son poignet, se trouve une montre. Elle la regarde, appuie dessus, clique avec son doigt, balance et soudainement elle relève la tête, la rebaissant de temps en temps pour prendre des informations.
« Charmante ? Quel joli nom que voilà. Tu es mineure, petite du haut de ton mètre cinquante et bien légère. Quarante kilos … »
Rire, encore.
« Attention, à ne pas t’envoler ! »
Puis soudainement, Charmante ne peut plus bouger, plus avancer, pas même lever le bras pour se gratter le nez. Elle peut cligner des yeux, parlés, mais est figé. Tout son corps l’est. La petite fille lui tire la langue et se rapproche d’elle, lui tournant autour, l’observant de haut en bas.
« Je vois que tu souhaites être élémentariste. Es-tu sûre de ton choix ? »
La langue de l’adolescente claque, amusée, sans doute, avant de continuer.
« Avec ton imagination et ton insouciance, tu pourrais devenir une bonne illusionniste chez les mentalistes. »
Elle hésite, puis rajoute.
« Ce sont également de bonnes prédispositions pour devenir magicienne. »
Ses mains font derrière son dos, alors qu’elle se baisse à nouveau pour mettre à son visage à quelques centimètres de celui de sa camarade, à même hauteur.
« Bien évidemment, les éléments peuvent être appréciables, les manier est agréable mais entraine de grandes responsabilités. Tu te sens à la hauteur ? »
Elle ne bouge pas, attend, avant de rajouter.
« Tu pourrais aussi essayer d’être humaine, après tout, tu l’étais avant, non ? »
Finalement, la petite fille recule de quelques pas.
« Si tu es certaine de ton choix ou que tu souhaites en changer, dis-le type sélectionné et les mots choix validés. »
Une forêt épaisse et large non loin d’une rivière, éloignée d’une grande ville où on peut distinguer des hauts bâtiments. Les arbres de cette forêt ont le tronc tortueux, épais et gros. Des champignons poussent autour d’une mousse nombreuse. Dans cette mousse, habillée d’une robe bleue, pieds nus, se trouve une jeune fille aux cheveux noirs. Cette jeune fille est menue, petite et semble dormir d’un sommeil éternel. Elle semble morte, mais elle est en vie.
Près d’elle se trouve une adolescente aux cheveux en couettes, avec un gros manteau, une jupe d’écolière, un legging noir et des petites bottines crème. La petite fille s’est penchée, les pieds bien solidement ancrés sur le sol. Elle rit doucement.
Le soleil se lève doucement au loin et la petite fille rit doucement. Même si le soleil se lève, il est figé. Bloqué, en attente du réveil de l’endormie.
Près de la petite fille, il y a un petit écureuil à la queue touffue et aux poils longs. Lui aussi ne bouge pas. Rien ne peut vivre tant que l’endormie le reste. Et elle ne le restera pas longtemps, la petite fille le sait.
Elle n’en est plus une pourtant. L’adolescente aurait été un meilleur nom. Elle se le dit, en riant. Est-ce vraiment important ? Elle semble en vie. Mais elle ne l’a jamais été. Est-ce qu’elle est morte ? Il faut être en vie pour avoir le droit à la mort.
La vie, la mort, un cercle qu’elle ne peut comprendre.
Elle aimerait.
Juste une fois.
« Eh … » Dis la petite fille.
« Il faut se lever Charmante. »
Un rire, à nouveau.
« Je ne suis pas ta princesse, ni ton prince, mais il faudra faire avec. »
Aucune odeur, aucune senteur, aucun vent. Rien. Comme-ci elles étaient coincées dans une photographie immobile.
Une cantine scolaire, sans le moindre enfant, sans la moindre cantinière et sans le moindre bruit. Il fait nuit. Et pourtant, il y a deux personnes. Un homme assit à une table et endormi. Et une petite fille qui suce une sucette aux gouts fruités et qui attend son réveil.
L’homme est imposant et d’une taille très importante, ses cheveux sont dressés sur sa tête. Il possède un bouc, des favoris sur les joues et sourcils épais. Il est également pieds nus et habillé d’une chemise et d’un pantalon en toile bleu comme ceux que les hôpitaux font portés à leurs patients.
Des larges fenêtres épaisses de la cantine, la nuit est belle et bien visible transperçant la pièce allumée de son bleu sombre. La lune ne doit pas être pleine ou le ciel doit être nuageux car peu de luminosité est visible de l’extérieur. Rien n’y est visible, si on s’en rapprochait, on pourrait y voir un parc. Un parc comme il en existe des milliers, avec des arbres, des bancs et des poubelles. Là encore, il n’y a pas d’âmes qui vivent.
Niveau didacticiel validé.
Allons, allons, mon grand, il faut se réveiller. C’est ennuyant, à chaque fois. Il faut toujours attendre qu’il ouvre les yeux. Et tant qu’ils ne sont pas réveillés, le monde ne peut pas s’activer. La sucette n’a pas de saveur, les odeurs sont absents et mêmes les bruits extérieurs. Ils se réveillent petit à petit, en même temps que se réveille l’alter égo.
LittleGirl se balança devant et derrière, puis elle sautilla sur sa jambe droite jusqu’à l’homme. Elle tapota de sa main son dos plusieurs fois.
« Eh ! Il faut se réveiller. Rossi Dino, né à Rome en Italie. Monsieur le père de deux braves enfants. Il faut ouvrir les paupières … Allez, je m’ennuie. »
La jeune adolescente qui parlait ainsi d’une manière très vive et très joyeuse se nommait Petite Fille. Elle avait de longs cheveux bruns ramenés en des couettes hautes.
Elle portait également un manteau vert très épais de ceux que portent les commandos de l’armée de terre italienne, une combinaison courte et noire ainsi que des bottines de l’armée.
C’était terminé. Le didacticiel était à sa dernière étape. L’étape la plus fastidieuse pour la plupart des joueurs était à son achèvement. L’adolescente aux cheveux sombre hocha pensivement de la tête. Elle scruta et décrivit l’autre femme avec une lueur de doute dans le regard. Parviendrait-elle à survivre dans ce monde ? La réponse, elle ne la connaissait pas. Peut-être, après tout. Chacun avait sa chance ici. Finalement, elle se détourna d’elle, distraite par une présence impalpable. Elle laissa Taï configurer sa montre de vie inattentive à cette étape. Il s’agissait des choix de Taï, pas des siens et elle ne pourrait pas la conseiller par ailleurs. Elle n’était pas configurée pour ça. Elle était là simplement pour préparer au minimum le nouveau joueur au monde. Regardant la rivière, l’eau s’écoulant rapidement, l’adolescente soupira d’aise. Ainsi installée, le vent de plus en plus violent, ses cheveux voletaient, claquaient son visage et frappaient le vent autour d’elle. Des mèches de cheveux s’échappant de ses épaisses hautes couettes.
Le ciel au-dessus d’eux devint rougeoyant au maximum, quasiment irréel. Des nuages noirs masquant la luminosité et la présence du soleil. L’air devint glacial. Les bouts des doigts de l’adolescence bleuirent, mais le PNJ ne sembla pas se rendre compte du froid ambiant. Avantage sans doute de ne pas être un joueur. De ne pas avoir de consistance réelle.
Lorsque la femme s’adressa à elle, l’adolescente se retourna lentement et avec gentillesse.
« J’ai terminé, je vais te dire au revoir.
Sache qu'à partir de ton bloc, tu peux revenir ici. Tu seras immédiatement téléportée dans cette zone et tu pourras me demander un entrainement, me poser des questions ou en apprendre plus sur ce que tu veux. Il te suffira simplement d'en faire la demande. »
La jeune femme s’éloigna légèrement, riant doucement, amusée par une blague qu’elle seule devait comprendre. Elle regarda sa montre et tapota dessus quelques instants. Une fine lueur carmine en sorti et vint se poser sur le cœur de Taï.
« Maintenant, je te donne tes quatre vies. Sache que dans les prochains instants, tu en perdras forcément une. Tu n’auras pas le choix, tu vas devoir mourir. Mais tu auras un dernier choix à faire … »
L’adolescente cessa de rire. Elle regarda autour d’elle avec inquiétude, ses jambes nues se mirent à trembler et elle tomba à genoux à sur le sol. Comme inerte, les yeux rivés sur le sol, elle soupira :
Les jambes de la jeune fille battaient à un rythme rapide tandis qu’elle attendait en sifflotant que la femme vienne s’asseoir à côté d’elle sur le banc. Le temps sembla se couvrir, les nuages devinrent plus sombre se teintant d’une couleur rougeâtre. Ces changements perceptibles ne semblaient ni être remarqués ni être perçues par la jeune adolescente. Taï, elle, devait ressentir ce froid doux et ce léger vent venant jouer avec ses cheveux. Quelques mèches lui chatouillant le front, la nuque et les tempes.
L’adolescence se pencha en avant, les coudes sur ses genoux, son visage tourné vers l’élémentariste. Elle se mit à rire tendrement avant d’hocher de la tête pensivement.
« C’est un très bon choix. »
La main de la demoiselle se posa sur le poignet de la jeune fille. Une montre en cuir noir banale apparue. Aussitôt après, l’adolescente poses ses mains sur ses cuisses et se mit à regarder face à elle. Les yeux ainsi dans le vague, elle sembla se perdre dans des pensées flegmatiques. Toutefois, ses pensées ne durèrent guère longtemps, avant que l’adolescente ne se remette à parler.
Bien qu’elle s’adressait visiblement à Taï, elle ne la regarda pas une seconde, parlant presque mécaniquement. Visiblement, rouée aux mots qu’elle prononçait.
« Tu as maintenant une montre de vie. Je t’en félicite. Dans ton autre vie, tes vices étaient nombreux et tes vertus tout autant. Ces dernières te confèrent une augmentation évidente de certaines capacités et caractéristiques.
L’orgueil baisse ta survie de 5 points, L’envie augmente ton addiction de 10%, La colère t’offre le pouvoir berserk. Si tu n’arrives pas à contrôler ta colère, tu ne pourras plus penser : tu voudras simplement tuer. La luxure baisse ta compétence karma de 5 points. La gourmandise augmenter ton addiction de 10%, L’insouciance baisse ta survie de 5 mais augmente ta chance de 5 L’égoïsme augmente ta survie de 10 mais baisse ton karma de 10 La vantardise baisse ta chance de 5 points La maladresse baisse ta survie de 5 points La possessivité augmente ton addiction de 10% Et ton addiction à la pyromanie augmente tes points éléments de 50 points mais t’oblige à être dépendante du feu. Tu devras t’en nourrir régulièrement, craindra moins les lieux chauds mais beaucoup plus les lieux froids.
Ta force d’âme augmente ton karma de 10 points Ton sens de la justice augmente ton mental de 10 points Ton imagination augmente ta magie de 10 points Ton sens protecteur augmente ton karma de 10 points et ta survie de 10 Ta débrouillardise augmente ta survie de 10 et ta vie également Ton altruisme augmente ta chance de 10 et ton karma de 10 Ta bienveillance augmente ton karma de 20 Ta loyauté ne te sert à rien pour l’instant, mais te sera utile plus tard Ton intelligence augmente 20 points de mental Ta charité augmente ton karma de 20 Ta foi te servira bien plus tard …. »
Sautant sur ses deux pieds, la jeune adolescente bailla. Elle leva ses bras en l’air et se mit à s’étirer, légèrement, se retournant joyeusement vers la femme.
« Tu es une personnalité bien complexe, dis-moi ! Je sens que tu vas pouvoir bien t’habituer à ce monde. En tout cas, c’est bientôt terminé. Grâce à la montre, tu peux maintenant accéder à ton premier achat.
Avant de continuer ton aventure, tu vas devoir acheter une compétence.
Je t’offre toutefois 100 points de compétences à répartir comme bon te semble. N’oublie pas toutefois, que si tu ne le peux pas encore, ils doivent te permettre d’effectuer ton premier achat ou tu seras sanctionnée ! »
La jeune adolescente continua comme-ci de rien n'était :
« Exceptionnellement, tes nouvelles statistiques et ta nouvelle capacité te sera rajoutée sans que tu es besoin de passer par la case bloc. Par la suite, il te faudra retourner au bloc - de toute façon, tu n'auras pas le choix d'y retourner - pour obtenir tes nouvelles statistiques. Tant que tu ne retournes pas au bloc, tu restes à l'état où tu es ...
La voilà réveillée la belle femme endormie. Au fur et à mesure que Taï quitte son banc et parle, l’eau de la rivière se met à s’écouler plus rapidement, l’air devient plus frais et des odeurs d’arbres humides, de bords d’eau et de parfums de fleurs se font ressentir. Le paysage semble reprendre vie, comme dépendant du réveil de l’autre femme.
L’adolescence se retourna, fixant la jeune visiteuse face à elle. Elle l’écouta d’une oreille discrète, la main encore humide de l’eau de la rivière. Avec une moue d’agacement et des yeux pétillants de malice, elle quitta le bord de la rivière pour venir sur le chemin.
« Bonjour Taï, il est temps pour toi de rejoindre la ville d’Utopia. Docteur Becket doit déjà être en train de préparer ton bloc. »
Sautillant joyeusement, la jeune adolescente se mit à regarder de haut en bas la jeune femme. Elle eut un rire cristallin, moqueur rempli autant de candeur que de froideur. Difficile de lire quoique ce soit dans ses yeux actuellement.
L’adolescente finie par se stopper. Elle regarda sa montre au menu visiblement tactile. Elle tape dessus, ses doigts glissant pour faire basculer les images et les mots. Une lueur oppressante et inquiétante émanant du petit objet.
Dès l’instant où l’adolescence a eu finit de dire le mot bloc, la femme a eu les jambes pétrifiées. Il lui est impossible de bouger, de s’éloigner ou de s’enfuir. Le haut de son corps est toujours libre de bouger, autant que ses lèvres sont libres de parlées.
Sans doute, peut-elle réaliser maintenant qu’elle ne ressent pas la douleur. Elle pourrait se baffer, qu’elle n’est pas encore capable de ressentir quoique ce soit. Même si quelqu’un apparaissait et lui tranchait la gorge, elle ne ressentirait aucune douleur et n’aurait aucune plainte de souffrance.
Finalement la fillette marqua une courte pause et redressa le visage pour planter ses yeux verts dans ceux de Taï.
« Bien. Tu te nommes Taï, tu es encore bien jeune. Sans doute entre vingt-et-un et trente ans. Tu mesures un mètre soixante et pèse cinquante-six kilos. Est-ce bon ? »
Visiblement la fillette n’attendait pas de réponse. Elle préféra s’éloigner, s’asseyant sur le banc que Taï avait quitté.
« Tu as encore le choix de changer de type. Veux-tu rester magicienne ?
Réfléchis bien.
Tu pourrais lire dans l’esprit des gens en devenant mentaliste, contrôler le feu en tant qu’élémentarise ou avoir une force inégale en tant qu’humain ? Tu es certaine de ton choix ? »
L’adolescence croisa ses jambes en taille, son visage se penchant tantôt à gauche, tantôt à droite, tel un chat le ferrait. Elle attendait visiblement une réponse. Et, alors qu’elle attendait sa réponse, elle se remit naturellement à siffloté l’air de la musique chantonnée tantôt.
« Si tu es certaine de ton choix, alors répète ton type et dis choix validé. »
Dès l’instant où le choix sera validé, les jambes de la jeune femme redeviendront valides. Sinon, ils resteront immobiles.
Le bord d’une rivière paisible, un chemin bordé d’arbres et une ville au loin. Le ciel est calme, quelques nuages blancs le grêle agréablement. Sur un banc, une jeune fille est endormie. Ses cheveux châtains lui arrivent aux épaules. Au bout de ces derniers, on distingue des mèches noires et rouges. Elle porte une robe bleue et pale, ses pieds sont nus. Elle ne possède rien d’autre sur elle.
Paisiblement endormie, elle ne tardera pas à ouvrir les yeux. Aucun autre son n’est perceptible. Ni le chant des oiseaux, ni le bruit du vent, lui-même absent. Le paysage aussi magnifique soit-il est éteint de toute odeur, toute senteur et de tout bruit perceptible.
Près de la rivière, dos à la jeune femme, se tient une jeune adolescente de type caucasienne. Malingre et petite, elle porte une écharpe noire à étoiles rouges, un tee-shirt noir, un short rouge et de grosses bottines en cuir sombre.
Sur le tee-shirt est inscrit : « Nothing is impossible », le petit dessin d’un clavier d’ordinateur brûlant dans les flammes est brodé sous le message.
Ses cheveux bruns et bouclés sont maintenus par deux grosses couettes. Les mèches de ses cheveux sont un peu folles et semblent former deux petites cornes. De dos, il n’est pas possible de distinguer ses grands yeux verts, félins et rieurs. Ni de percevoir le grand sourire que dessinent ses lèvres d’une pâleur effrayante, contrastant avec ses belles joues rosées.
Elle ne semble pas avoir entre quinze et dix-huit ans et ne possède aucun artifice. Des petites boucles d’oreilles rondes et noires et une montre sont ses seuls bijoux. Aucun tatouage n’est visible, ni d’autres piercings.
L’adolescente se penche légèrement vers la rivière, attrapant un peu d’eau dans sa main droite, la laissant glisser entre ses doigts fermés. Doucement, elle recommence la même opération. Puis doucement, elle se met à chantonner en boucle :
« Si ton cœur zoum, zoum, zoum, Aime mon cœur zoum, zoum, zoum, Comme mon cœur zoum, zoum, zoum, Aime ton cœur zoum, zoum, zoum, Nos deux cœurs zoum, zoum, zoum, Nos p’tits cœurs zoum, zoum, zoum, Ne feront plus qu’un seul et même cœur. Si tu m’aimes par hasard, Alors bientôt je reviendrai Sous la fenêtre de ta maison, Et de nouveau je chanterai. Sans mandoline, ni guitare, Comme un troubadour espagnol Dans la rue ma chanson, Je veux chanter un si bémol. Et si tu ne m’aimes pas mon coeur, Alors aimé je m’enfuirai Quelques part ou ailleurs, Ou bien alors je te tuerai. »
Il est certain désormais que la jeune femme allongée sur le banc est réveillé. C’est bien la seule certitude.
Nom : Girl Prénom : Little Sexe : Femme âge : Adolescent Veuillez choisir un type de base de personnage : Métamorphose et démon Métier : Dictaciel et niveau 1 Taille de votre personnage : 1m55 Poids de votre personnage : 45 kg
Description de votre personnage : LittleGirl est le premier personnage rencontré dans le jeu. Bien qu'elle soit la spécialiste du Dictaciel et du niveau 1, vous pouvez la rencontrer ailleurs. Cette espiègle adolescente aussi menue que dangereuse, traine dans les mauvais quartiers de la ville, parle beaucoup mais de pas grand chose et se montre volontairement moqueuse. On ne sait pas très bien si elle cherche à empêcher les joueurs d'arriver au niveau 1, ou si elle cherche justement le contraire. Ce qui est certain, c'est qu'elle est capable de causer bien des problèmes et qu'il vaut mieux ne pas la provoquer.
Base
Personnage Non Joué. - Elle est le premier personnage rencontré. - Son rire est très aiguës et remarquables. On l'entend souvent, même quand elle est dans une autre rue. - Quand elle n'est pas dans le dictaciel ou le niveau 1, elle traine du coté des Enfers.
Race : Démon Faction : Mael Vie : Invincible Capacités obtenues : Métamorphose (en chat noir, principalement.)
![Virtual Prisoner [RPG]](https://2img.net/r/hpimg11/pics/5051404901.png)
Accueil ![Tag littlegirl sur Virtual Prisoner [RPG] Blocs-10](https://i.servimg.com/u/f18/19/28/08/26/blocs-10.png)
Sujet: ![Tag littlegirl sur Virtual Prisoner [RPG] Icon_minipost](https://2img.net/i/fa/bbtech/icon_minipost.gif "Message"){kind=icon}
Sujet: ![Tag littlegirl sur Virtual Prisoner [RPG] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/subsilver/icon_minitime.gif){kind=icon}
Dim 13 Sep 2015 - 17:44![Tag littlegirl sur Virtual Prisoner [RPG] Sans-t10](https://i.servimg.com/u/f18/19/29/38/16/sans-t10.gif)
![Tag littlegirl sur Virtual Prisoner [RPG] Charli11](https://i.servimg.com/u/f21/19/29/38/16/charli11.gif)
![Tag littlegirl sur Virtual Prisoner [RPG] Dino111](https://i.servimg.com/u/f21/19/29/38/16/dino111.gif)
![Tag littlegirl sur Virtual Prisoner [RPG] Hghg10](https://i.servimg.com/u/f18/19/29/38/16/hghg10.gif)
![Tag littlegirl sur Virtual Prisoner [RPG] Sans-t11](https://i.servimg.com/u/f18/19/29/38/16/sans-t11.gif)
![Tag littlegirl sur Virtual Prisoner [RPG] Sans-t10](https://i.servimg.com/u/f18/19/29/38/16/sans-t10.jpg)
